„Les monades, y compris les monades physiques, sont donc de simples objets de pensée, ou noumènes ; elles ne deviennent substances phénoménales et objets de connaissance possible qu’en perdant leur simplicité et leur intériorité absolue.“ (p. 162) #Vuillemin #Monade
Vuillemin, Jules, Physique et métaphysique Kantiennes. Paris: PUF 21987, ISBN 0763-9538.